Une date : le 11 mai.
Mais encore beaucoup d’incertitudes sur la manière de travailler à partir de cette date. Une chose est sûre : ce sera différent avec des contraintes liées aux gestes barrière qui vont complexifier l’organisation logistique du travail.
Il faut réinventer les modes opératoires pour regagner du temps.
Une suggestion : impliquer les équipes dans la définition de ces nouveaux process. La solution doit être partagée, comprise, venir du terrain et permettre à chacun de trouver le niveau de sécurité et de confiance qui lui permettra d’adhérer, de mettre en pratique et d’être porteur de cette nouvelle façon de faire.
Nous prenons conscience que le 11 mai n’est pas « la Libération » mais une étape sur le chemin qui sera long d’un retour à la normale. Il faut sans doute compter en mois. Ce n’est plus une course de vitesse, ni un marathon, mais véritablement une épreuve de persévérance, de courage, et surtout d’adaptation.
Une ligne de conduite : voir le positif dans toutes ces nouvelles contraintes et transformer l’adversité en opportunités de faire différemment, mieux, en adéquation avec la vision et les valeurs de l’entreprise.
Karine Gaudin